Comment se faire des amis

Synthèse du livre « Comment se faire des amis » de Dale Carnegie (1990)
Le résumé ci-dessous ne suit pas la chronologie du livre

–      Dixit Freud : l’humain est dirigé par 2 désirs : le sexe et la reconnaissance
–      Le besoin d’importance des humains est aussi important que la faim ou la soif
–      Toujours avoir le désir de se perfectionner, et de mieux s’entendre avec son entourage
–      Contrôler régulièrement les progrès effectués, et tirer des leçons des erreurs
–      Sourire, le plus sincèrement possible, pour s’attirer la sympathie
–      Faire attention au nom des autres, ils sont importants pour eux
–      Agir envers les autres comme on souhaiterait qu’ils agissent envers nous
–      Se mettre à la place des autres (y compris pour les amener à faire ce qu’on veut en leur donnant des arguments pour les motiver)
–      Phrase magique : « Je comprends très bien votre attitude. Si j’étais vous, j’aurai probablement la même ». C’est vrai et cela désactive l’hostilité.
–      Eviter la controverse et si elle survient, chercher des terrains d’entente pour la désactiver et faire de son ennemi un ami
–      Reconnaître ses erreurs, éviter de faire remarquer aux autres les leurs
–      Ne pas critiquer autrui (le négatif engendre le négatif)
–      Les humains progressent mieux avec une critique quand elle est positive (encouragement) que quand elle est négative (reproche)
–      Sur le long terme, on obtient plus avec des récompenses qu’avec des sanctions
–      Complimenter sincèrement, louer tout progrès généreusement
–      Faire sincèrement sentir aux autres leur importance
–      S’intéresser sincèrement aux autres : aimer pour être aimé
–      Ecouter attentivement les autres, voire, les encourager à parler d’eux
–      Laisser les autres parler aussi longtemps qu’ils ont des choses à dire
–      Parler aux autres du sujet qui les intéresse
–      Le secret de Socrate : se faire répondre oui immédiatement à plusieurs questions jusqu’à une conclusion qu’on ne peut nier.
–      Faire croire aux autres que les idées viennent d’eux (Inception !). Abuser de questions et de conditionnel au lieu de donner des ordres directs.
–      Faire appel aux sentiments élevés (« je sais que vous êtes quelqu’un de sérieux/honnête/qui n’a qu’une parole/etc. »)
–      Pour convaincre, user de spectaculaire et d’imagination
–      Pour donner envie, lancer un défi (l’occasion de se dépasser a plus de valeur que l’argent)
–      Faire précéder une remarque négative par un compliment sincère (sans corréler les 2 par un « mais », mais éventuellement par un « et »).
–      Faire remarquer les erreurs/défauts de manière indirecte
–      Laisser les autres sauver la face (les soutenir permettra d’obtenir leur soutien en retour, même si c’est inconscient).
–      Avant de faire remarquer une erreur à un autre, rappeler ses propres erreurs.
–      Shakespeare : « Si une vertu vous fait défaut, feignez de la posséder »
–      Encourager les progrès en les faisant passer pour faciles
–      Etre sincère. Appliquer tous les principes et toute la vie avec sincérité.
–      Rendre les autres heureux de faire ce qu’on leur demande

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